Connu pour sa franchise et sa constance dans ses convictions, Joseph Olenghankoy Mukundji opposant pendant plusieurs années au côté de son mentor Étienne Tshisekedi wa Mulumba, décédé il y a exactement 7 ans.
Malgré ce fait, cela ne l’empêchera pas non plus de critiquer la gestion du fils du Sphinx de Limete « FELIX TSHISEKEDI », si tel était nécessaire.
Cependant, les déclarations incendiaires qui circulent depuis la matinée du mercredi 7 août 2024 sur les réseaux sociaux, en réaction à la sortie médiatique du chef de l’Etat, sont l’œuvre des officines malveillantes qui cherchent à saper l’honorabalité de ce digne héritier politique d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba.
Ce fakenews indigeste attribué au leader des Forces Novatrices pour l’Union et la Solidarité (FONUS) s’est répandu telle une traînée de poudre. Cette entreprise orchestrée par des personnes sans foi, ni loi, est une mise en scène maladroitement conçue.
Ce long message, aux allures d’un pamphlet, qui est faussement attribué à l’ancien ministre des Transports est un vrai faux qui n’engagent que ses auteurs.
Depuis l’interview du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, convalescent du reste, Joseph Olenghankoy, président du Conseil national de suivi de l’Accord et du processus électoral (CNSA), n’a organisé aucune rencontre avec les professionnels des médias, et moins encore un membre de son parti le FONUS.
L’auteur du fakenews et ses détracteurs n’auraient certainement réussi le coup, visant à nuire à la respectabilité de Joseph Olenghankoy.
Connu pour son franc-parler, le leader des FONUS n’aura pas besoin de porte-parole pour dire ce qu’il pense tant que sa lutte pour la cohésion nationale restera sa priorité.
Il dit avoir mis sur la piste l’équipe de ses avocats et spécialistes du numérique pour identifier l’officine responsable de cette entreprise criminelle. En même temps, Joseph Olenghankoy et son conseil se réservent le droit de traduire en justice toute personne impliquée dans ce jeu malsain visant à nuire à sa réputation et à son honorabilité. Blaise Kabongo (CP)
Rédaction
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