Ce n’était que sur un coup de chance que l’AS Vita Club a pu créé la sensation entre 2014 et 2015 dans les interclubs africains affirme l’ancien entraîneur du club, Florent Ibenge au cours d’une émission télévisée comparant le football en Afrique du Nord et subsaharienne.
L’actuel entraîneur de Al Hilal a été cash sur rétrogradation du football de l’autre côté de l’Afrique à l’exception du maghreb « Les autres ont pris de l’avance. Nous on a réussi à faire quelque chose (avec Vita en 2015), c’était surprenant mais je vais pas vous dire ce qu’on a pu faire. Ça tient parfois du miracle. A Berkane j’avais tout à coté de moi, dans Vita club, quand vous faites l’entraînement il y a un autre club qui attend son tour, vous avez un entraînement dans la journée pas deux et vous n’avez pas le temps de travailler quoique se soit, les supporters sont à côté, sur les terrains improbables. », dévoile Florent Ibenge sur Canal+
Et comme anecdote, Y’a Flo révèle les coulisses de sa finale jouée en 2015 contre Setif en Coupe de la Confédération « Moi je préparais la finale retour contre Setif, on arrive au stade pour s’entraîner mais le terrain est pris par une église et tu es obligé de quitté et d’aller sur un terrain sablonneux avec un relief improbables que tu n’arrive même pas à contrôler un ballon. C’est comme ça que je prépare une finale de Coupe d’Afrique et on arrive à faire (1-1). Mais dans le Nord on met plus des moyens. »
Des vérités choquantes vis-à-vis de la désorganisation du football en Afrique particulièrement en République démocratique du Congo.
Rédaction